Carnet de voyage sur l'île de Pâques
Vue de l'île de Paques
en fixant le nord ouest, le petit bout de plage qu'on distingue est la
plage d'Anakena. C'est à cet endroit qu'on se rend compte de la
petitesse de l'ile de Pâques. |
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La zone n'est qu'une vaste
prairie avec ça et là des bosquets d'arbres, vestiges
d'une forêt qui devait recouvrir l'île il y a de cela bien
longtemps. C'est à cet endroit que la tradition veut que les
"courtes oreilles" aient nettoyé complètement le sol pour
faire disparaître toutes les pierres qui y trainaient.
Effectivement on ne trouve pas de pierres détachées
contrairement au reste de l'île. |
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Un rapace a été
introduit sur l'île pour contrer la prolifération des rats
apportés par tous les bateaux d'occidentaux arrivés
dès le XIXème siècle. Aujourd'hui, ils sont
toujours présents et très nombreux au détriment
des rares oiseaux indigènes qu'il pouvait rester. On peut observer aussi du côté du Rano Raraku des phaétons (paille en queue) à queue rouge. |
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L'érosion laisse apparaître la terre rouge dont se servait les pascuans pour s'enduir les cheveux. | |
Et comme partout sur
l'île, encore des moaï, il y en a déciment partout.
Le pukao qui se trouve sur la tête de celui-ci a
été rajouté par un touriste
irrévérencieux. |
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Le reste de ce petit
moaï permet de voir à quel point les mains étaient
sculptées finement. |